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Je n’avais pas compris, à l’époque, toute los angeles détresse d’une telle confirmation, derrière laquelle Paul tentait de masquer l. a. crainte viscérale qu’il avait de los angeles mort. �À quoi bon mourir, me disait-il, si Dieu n’existe pas», comme si nous avions pu décider de notre kind, opter pour une éternité qui aurait été le fait de notre seule volonté. C’est ce qu’il hurlait, Faber, que Dieu était le mal, que là se trouvait l’explication de son omnipotence et qu’il n’avait sacrifié Anna que pour lui ouvrir les yeux et le rappeler à lui. Il criait qu’il n’y avait ni enfer ni ciel, que l’éternité commençait sur terre par los angeles réunion du bien et du mal. Il criait que le diable et Dieu ne formaient qu’un, �un, Charlie, un», que los angeles sainte Trinité n’était pas composée de trois membres, �mais de quatre, Charlie», comme chez les mousquetaires de Dumas, et qu’il avait enfin trouvé los angeles resolution à ce qu’il nommait los angeles quadrature du triangle. Et moi, ne comprenant rien à son délire, j’avais voulu l’empêcher de rejoindre Dieu, j’avais tenté de contrecarrer les desseins du Mal, parce que Faber ne pouvait me laisser seul avec le corps d’Anna qui refusait de marcher, de parler, de sourire, et qui allait se refroidir, je le savais, devenir du bois gelé. J’avais contacté l. a. major de mon grand-père, lorsque j’étais petit, où courait un chapelet de verre, et j’avais senti le bois sous sa peau. Alors je m’étais rué sur lui pendant qu’il détachait Anna et je l’avais frappé, de toutes mes forces, avec mes poings rougis où tranchait l. a. parfaite blancheur des os de mes jointures, puis je l’avais encore frappé, avec une branche morte tombée du chêne, qui avait fait couler un mince filet de sang sur sa tempe gauche et avait interrompu ses hurlements, dont le dernier s’était arrêté au seuil de sa bouche entrouverte, puis s’était fait râle, soupir, silence… C’était los angeles deuxième fois, en quelques mins, que j’entendais le bruit que peut faire los angeles mort, et je n’osais pas bouger, essayant de me persuader que le souffle rauque me parvenant sous le bruit assourdissant de mon sang n’était pas le mien, mais celui de Faber. Puis j’avais compris que Faber ne respirait plus, que l. a. branche du chêne avait tué Faber, et qu’il allait devenir comme Anna, du bois gelé. Ainsi l. a. fatalité n’était-elle pas ce qu’on croyait, avais-je pensé, los angeles fatalité avait une reason et, dans le cas présent, j’étais cette reason. J’avais donc hurlé à mon travel, mais peut-être mon cri n’était-il qu’un murmure, un couinement échappé de ma gorge nouée, où l’air refusait de circuler. Pris de panique à l’idée de m’effondrer près de Faber, de mourir dans cette stupide clairière, je m’étais jeté par terre en me martelant los angeles poitrine avec mes poings blanchis, puis, mon souffle revenu, j’étais parti. J’avais couru sur le sol duveteux, j’avais trébuché sur le petit escabeau que Faber avait dérobé à los angeles sacristie, j’avais croisé l’œil des démons en touchant le sol, puis j’avais repris ma direction, jusqu’au sentier, jusqu’à los angeles rivière où je m’étais précipité pour me laver, m’éveiller de ce cauchemar, reprendre touch avec les bruits du monde, en useless, puisque le silence était aussi opaque et affolant sous l’eau claire et fraîche que dans los angeles moiteur irrespirable de l. a. clairière.