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By Jean-Michel David

Nouvelle histoire de l’Antiquité

1. Jean-Claude Poursat, La Grèce préclassique. Des origines à los angeles fin du VIe siècle
2. Edmond Lévy, La Grèce au Ve siècle. De Clisthène à Socrate
3. Pierre Carlier, Le IVe Siècle grec. Jusqu’à l. a. mort d’Alexandre
4. Pierre Cabanes, Le Monde Hellénistique. De los angeles mort d’Alexandre à los angeles paix d’Apamée (323-188 av. J.-C.)
5. Claude Vial, Les Grecs. De los angeles paix d’Apamée à l. a. bataille d’Actium (188-31 av J.-C.)
6. Agnès Rouveret, Rome avant l’impérialisme
7. Jean-Michel David, La République romaine. Da los angeles deuxième guerre punique à l. a. bataille d’Actium (218-3 av. J-C.)
8. Patrick Le Roux, Le Haut-Empire romain en Occident. D’Auguste aux Sévères (31 av. J.-C.-235 apr. J.-C.)
9. Maurice Sartre, Le Haut-Empire romain. Les provinces de Méditerranée orientale d’Auguste aux Sévères
10. Jean-Michel Carrié, Aline Rousselle, L’Empire romain en mutation. Des Sévères à Constantin (192-337 apr. J.-C.)

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The Oxford Handbook of Ancient Greek Religion (Oxford Handbooks)

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Euripides II: Andromache, Hecuba, The Suppliant Women, Electra (The Complete Greek Tragedies)

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Euripides I: Alcestis, Medea, The Children of Heracles, Hippolytus (The Complete Greek Tragedies)

Euripides I includes the performs “Alcestis,” translated through Richmond Lattimore; “Medea,” translated by means of Oliver Taplin; “The kids of Heracles,” translated by way of Mark Griffith; and “Hippolytus,” translated by way of David Grene. Sixty years in the past, the college of Chicago Press undertook a momentous undertaking: a brand new translation of the Greek tragedies that might be the last word source for academics, scholars, and readers.

Euripides IV: Helen, The Phoenician Women, Orestes (The Complete Greek Tragedies)

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Les différences de statut qui distinguaient les alliés de Rome, pérégrins et latins, des citoyens de Rome, des municipes ou des colonies avaient un sens au début du IIe siècle, quand elles correspondaient encore largement à des écarts ethniques et culturels et que l’horizon de l. a. plupart de ces communautés était restricté à un cadre politique neighborhood ou régional. Mais elles le perdirent au fur et à mesure que l’Italie s’intégrait dans cet espace méditerranéen que l’impérialisme romain et le développement des échanges avaient tendance à unifier. Les Italiens – Romains compris – abandonnaient une partie de ce qui faisait leurs identités propres au revenue d’un ensemble commun de références culturelles et politiques largement marquées par l’hellénisme. Elles devenaient ainsi d’autant moins acceptables qu’elles continuaient de justifier aux yeux des autorités romaines une inégalité de traitement qui se manifestait dans tous les domaines de los angeles vie politique. Les alliés continuaient à payer l’impôt destiné à l. a. solde de leurs hommes alors que les Romains en étaient dispensés. Ils étaient engagés plus fréquemment, en campagne, recevaient une half moins importante de butin et étaient soumis à des sanctions pénales plus graves. En Italie même, enfin, ils subissaient les interventions des autorités romaines dans leurs affaires et avaient parfois à supporter les vexations de certains magistrats. Elles devinrent insupportables quand l. a. réforme agraire de Tiberius Gracchus aboutit à placer l’équilibre interne de certaines communautés entre les mains de magistrats romains dès lors que l’usage qu’elles avaient conservé de l’ager publicus était remis en reason. l. a. revendication de los angeles citoyenneté devenait alors d’autant plus impérieuse qu’une grande partie des Italiens, et particulièrement certaines de leurs aristocraties, avaient judgment of right and wrong de participer avec les Romains à une même communauté politique et culturelle qui se réalisait chaque jour davantage dans los angeles conquête, l. a. gestion et l’exploitation de l’Empire. Il s’en fallait cependant de beaucoup qu’une telle réforme fût appropriate. Outre le fait qu’elle imposait à l’aristocratie et aux milieux populaires romains un partage, bien difficile à accepter, des bénéfices réels et surtout symboliques de l’impérialisme, elle se heurtait à l. a. belief que l’on pouvait avoir alors de l. a. cité et de son gouvernement. Même dispersée entre Rome, son territoire et les divers municipes et colonies, los angeles communauté des citoyens romains ne comprenait guère que 400 000 hommes adultes qui étaient inscrits et unifiés par divers réseaux de parenté, de voisinage et de clientèle qui permettaient aux divers individus d’identifier l. a. position que chacun occupait et à l’aristocratie de gérer les tools sociaux de sa domination. los angeles standpoint de l’élargissement de ce groupe à un ensemble de plusieurs thousands d’individus avait certainement de quoi effrayer tout autant les simples citoyens que leurs dirigeants qui risquaient d’y perdre les uns leurs repères en même temps que leur supériorité relative et les autres les moyens de leur contrôle politique.

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